15/08/2013
Refuser l'idéologie du métissage : du racisme ?...
L'idéologie du métissage, dont on nous rebat les oreilles 24h sur 24 à peu près partout, est aujourd'hui une véritable pensée unique dont les politicards qui prétendent nous gouverner, de droite comme de gauche, se font toujours les plus fervents apôtres. A titre d'exemples, voici quelques citations on ne peut plus révélatrices, qui illustrent bien la parfaite connivence des différents acteurs du Système UMPS sur ce point précis, ce qui ne relève nullement du hasard :
. « il faut faire cette éducation du pays pour qu’il apprenne que désormais son avenir c’est le métissage... » (Julien Dray, PS)
. « Le métissage, je le dis ici, est une chance pour la France. Je serai la présidente de la France métissée et qui se reconnaît comme telle. » (Ségolène Royal, PS)
. « Notre avenir ? Une société métissée fière et énergique » (Valerie Pécresse, UMP)
. « Je veux être le président d’une France qui aura compris que la création demain sera dans le mélange, dans l’ouverture, dans la rencontre, je n’ai pas peur du mot, dans le métissage. » (Nicolas Sarkozy, UMP)
. « L'objectif, c'est relever le défi de metissage. En relevant ce défi, la France est fidèle à son histoire. » (Nicolas Sarkozy¨, UMP)
. « Je crois que l'immigration, le métissage sont une chance pour l'Europe » (Jean-Michel Quillardet, Grand Maitre du Grand Orient de France)
Le fait de rejeter l'idéologie du métissage serait-il fondamentalement "raciste", comme certains se plaisent à le crier sur tous les toits ?... Absolument pas. Pour ma part, je m'oppose à la haine raciale et aux thèses «suprémacistes». Ma vision découle d'un attachement profond à ceux dont je me sens proche pour telle ou telle raison, et d'un sincère respect pour tous les autres. Cette position, que l'on peut désigner sous le nom d'antiracisme différentialiste, se situe totalement aux antipodes de la haine raciale, et se base fondamentalement sur le principe d'autodétermination pour tous les peuples et tous les groupes d'individus. De plus, je le répète, je ne souscris aucunement aux doctrines de la suprématie blanche, pas plus que je ne souhaite imposer ma vision du monde aux autres.
Il n'existe pas de races "supérieures", ni de races "inférieures". De mon point de vue, le facteur racial ne peut déterminer la valeur d'un individu de quelque façon que ce soit, ce qui est démontré de façon évidente par le simple fait que certains Noirs sont beaucoup plus estimables que certains Blancs, et vice-versa. Je suis fondamentalement opposé à l'idéologie du "melting pot", mais je n'en désire pas moins créer des liens d'affinités et d'amitié avec d'autres mouvements et individus, quelle que soit leur origine raciale ou ethnique. Je considère simplement le métissage global, à grande échelle, comme une menace très grave qui met en danger la diversité du genre humain en l'uniformisant peu à peu, de la même façon que la chasse et la pollution menacent le monde animal et l'environnement.
Ensemble, avec nos camarades du monde entier, nous devons chercher à défendre nos identités respectives face aux ravages du déracinement cosmopolite. L'unité dans la diversité, telle est la clé : au sein d'une humanité uniformisée et indifférenciée, pas d'échanges possibles !...
En soi, l'individu ne fait pas tout. Sa mentalité et sa vision du monde sont largement conditionnés par le milieu social, l'environnement physique et culturel au sein desquels il s'est construit. Donc, prendre en compte l'individu unique en tant que tel, oui, mais pas seulement. Nier l'individu en le réduisant à une simple composante d'un groupe, ou à contrario nier le groupe dont il est issu pour ne prendre en considération que l'individu déraciné, "affranchi" de tout déterminisme et de tout héritage, c'est dans chacun de ces cas extrêmes faire preuve d'hémiplégie morale et intellectuelle.
Il suffit d'ouvrir le petit Larousse pour y lire la définition du mot "racisme", qui est on ne peut plus claire :
RACISME n.m. 1. Idéologie fondée sur la croyance qu'il existe une hiérarchie entre les groupes humains, les "races"; comportement inspiré par cette idéologie. 2. Attitude d'hostilité systématique à l'égard d'une catégorie déterminée de personnes.
Il n'y a donc rien de commun entre le racisme et le simple fait de reconnaître l'existence évidente des races, qui constituent des subdivisions, des catégories au sein de l'espèce humaine. Refuser le métissage, c'est refuser l'uniformisation du genre humain, la destruction de sa diversité au moyen d'un mélange généralisé de toutes ses catégories. Le racisme consiste pour sa part à établir des hiérarchies de valeur entre lesdites catégories. Nuance, et elle est de taille... CQFD.
Hans CANY
(2008)
17:23 Publié dans Politique | Tags : hans cany, identité & racines, autodétermination, races et ethnies | Lien permanent | Commentaires (2) | | Facebook | | |
Les jours de la semaine, un héritage europaïen
Avez-vous déjà noté les étonnantes similitudes et correspondances symboliques entre les noms que portent les jours de la semaine dans les différentes langues européennes ?...
Au-delà des évidentes parentés entre les langues de souche germanique (comme par exemple l'anglais et l'allemand), force est de constater, à quelques exceptions près, leurs remarquables concordances sur le plan symbolique, non seulement de par les noms des planètes auxquelles chaque jour fait référence, mais également et surtout de par les divinités et leurs attributions qui y sont associées.
Pour ne prendre qu'un exemple très simple, examinons de plus près les correspondances de ces noms entre trois langues européennes bien connues, le français, l'anglais, et l'allemand :
Français : Lundi ("Jour de la Lune")
Anglais : Monday ("Jour de la Lune")
Allemand : Montag ("Jour de la Lune")
Français : Mardi ("Jour de Mars", dieu de la guerre)
Anglais : Tuesday ("Jour de Tyr", dieu de la guerre)
Allemand : Dienstag (« jour de Thincsus »), dieu de la guerre)
Français : Mercredi ("Jour de Mercure")
Anglais : Wednesday (Wodan's Day, "Jour de Wodan" ==>correspondance Mercure-Lug-Wodan/Odin)
Allemand : Mittwoch ("Milieu de la semaine" ==> sans correspondance)
Français : Jeudi ("Jour de Jupiter", dieu de la foudre)
Anglais : Thursday ("Jour de Thor", dieu de la foudre)
Allemand : Donnerstag ("Jour de Donar/Thor", dieu de la foudre)
Français : Vendredi ("Jour de Venus", déesse de l'amour)
Anglais : Friday ("Jour de Freya", déesse de l'amour)
Allemand : Freitag ("Jour de Freya", déesse de l'amour)
Français : Samedi ("Jour de Saturne")
Anglais : Saturday ("Jour de Saturne")
Allemand : Samstag ("Jour de Saturne")
Français : Dimanche ("Dominus Dies", interprétation chrétienne tardive où le Dieu biblique remplace le Dieu Soleil)
Anglais : Sunday ("Jour du Soleil")
Allemand : Sonntag ("Jour du Soleil")
Loin d'être le fruit de coïncidences liées aux hasards de l'évolution linguistique, ce fait en apparence anodin ne l'est pas du tout, puisqu'il illustre non seulement la pérennité des symboles mythologiques païens jusqu'à l'époque actuelle , mais aussi et surtout les étroites affinités spirituelles et culturelles ayant persisté de tous temps entre les divers peuples apparentés à l'indo-européanisme (quelles que soient les branches auxquelles se rattachent leurs langues respectives : germaniques, latines, celtiques, etc).
Le patrimoine spirituel et culturel de tous les peuples européens constitue bel et bien un creuset civilisationnel commun. Et c'est à nous, Européen(ne)s modernes, dépositaires de ces traditions ancestrales, qu'il incombe de retrouver la trace d'une mémoire trop longtemps occultée. Car, pour paraphraser Nietzsche, l'avenir appartient aux peuples qui auront la plus longue mémoire...
Hans CANY
16:06 Publié dans Histoire, Spiritualité | Tags : hans cany, identité & racines | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | | |
Le "berceau de l'Humanité" est-il vraiment l'Afrique ?...
C'est devenu un véritable lieu commun, une "évidence" régulièrement reprise par tout un chacun dès lors qu'une discussion se rapporte peu ou prou à ce sujet : l'homme moderne serait venu d'Afrique, et nous serions tous des "descendants d'Africains", le continent noir étant la matrice originelle de l'ensemble du genre humain.
Pour ma part, je ne crois pas au "berceau" unique de l'espèce humaine. Ils ont été multiples, comme tendent à le démontrer de plus en plus les dernières découvertes paléontologiques. Que l'on soit tous issus d'une variété particulière de singes anthropoïdes qui se serait dispersée aux quatre coins du monde, ce n'est ma foi pas impossible, quoique ça reste à démontrer. Après tout, ces singes anthropoïdes peuvent tout aussi bien être apparus dans des foyers différents de façon plus ou moins simultanée. Dans tous les cas, ceci dit, ce n'est alors pas une affaire de race mais d'espèce commune. Cette histoire de berceau unique en Afrique orientale n'est somme toute qu'une hypothèse. Elle ne doit pas être prise comme une vérité incontestable, qui ne serait jamais susceptible d'être déboulonnée. Elle ne repose que sur quelques restes d'hominidés. En outre, les hominidés en question ne sont pas des humains proprement dits, du genre Homo, mais des singes anthropoïdes tels que l'australopithèque "Lucy", par exemple. Nuance...
Des découvertes récentes d'ossements fabuleusement anciens en Asie (centrale et orientale) démontrent en tout cas que l'apparition de l'Homme dans ces contrées s'est produite bien avant ce qu'on admettait jusqu'alors sur la base de la théorie "out of Africa". De quoi remettre en question bien des "certitudes" (ou dogmes ?)...Le plus ancien homme moderne (Homo sapiens, donc) d'Europe découvert à ce jour en Crimée, en 2011, est daté de 32000 ans. Ce n'est probablement pas le plus ancien Européen, on trouvera sans doute plus ancien. Quant à l'Asie du Sud-Est (Laos), on y a découvert en 2012 des restes d'Homme moderne datés de...63000 ans. Plus fort encore, l'Homme de Zhirendong, dont les restes datés de 100 000 ans ont été exhumés dans le sud de la Chine, est incontestablement un homme moderne. Lorsqu'on songe au fait que, selon la théorie du "Out of Africa", l'Homme moderne, Homo Sapiens Sapiens, serait sorti d'Afrique pour coloniser le monde voici 70 000 à 90 000 ans, le paradoxe -pour ne pas dire l'impossibilité manifeste- saute aux yeux. Il est évident, compte tenu de ces éléments nouveaux, que l'Europe comme l'Asie ont été peuplées d'Homo Sapiens bien avant la date admise jusque là. Et ceci n'est probablement qu'un début, nous ne sommes peut-être pas au bout de nos surprises...
L'hypothèse "Out of Africa" ne change rien, de toute façon. Quand bien même il s'avèrerait exact que l'ancêtre commun des diverses variantes de l'espèce humaine serait apparu en Afrique, en Patagonie méridionale ou à Vladivostok, la chose ne revêt pas la moindre importance si on la considère du strict point de vue de l'évolution, laquelle n'est autre qu'un processus dynamique de différentiation. La génétique démontre que nous avons tous, à un moment où à un autre de notre histoire évolutive, eu une origine commune à toutes les variantes de l'espèce humaine. Tout comme elle démontre aussi que nous avons tous une origine commune avec toutes les autres formes de vie existant ou ayant existé sur notre planète, si l'on veut remonter plus loin encore. Il n'en demeure pas moins que c'est bel et bien le processus de différentiation, via l'évolution, qui est à l'origine des variations, tant au sein des espèces (races, ethnies) qu'entre les espèces elles-mêmes. Le dogme de l'origine africaine de l'Homme moderne, tel qu'il est martelé par les tenants du scientifiquement et politiquement correct, revêt en réalité une dimension racialiste et suprémaciste, puisqu'en postulant que nous serions tous des "descendants d'Africains", on sous-entend dès lors que les Africains subsahéliens n'auraient que peu ou pas évolué. Ils seraient donc fondamentalement des arriérés, des retardés n'ayant pratiquement pas connu d'évolution depuis les origines, contrairement au reste de l'Humanité... La vérité est tout simplement que non, les Africains ne sont pas nos "parents" : ils sont juste nos "cousins". D'autant plus qu'il n'existe pas qu'un seul type de population africaine subsaharienne, mais bien au contraire une multitude d'ethnies distinctes.
La vérité est aussi que la théorie du prétendu "Out of Africa" n'est qu'une fable, abondamment relayée par les tenants du politiquement correct. Ils en ont fait un véritable dogme, pour des raisons d'ordre idéologique.
En guise d'appendice, je vous invite à prendre connaissance des articles ci-dessous reproduits, et qui montrent en quoi les récentes découvertes paléontologiques effectuées en Europe et en Asie bouleversent littéralement les "certitudes" et les datations officiellement retenues jusqu'à une date récente.
Hans CANY
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Découverte des plus anciens Hommes modernes du Sud-Est de l'Europe
Publié le mercredi 12 octobre 2011 · Mis à jour le lundi 25 février 2013
Avec Stéphane Péan, préhistorien, Muséum national d’Histoire naturelle, et Sandrine Prat, CNRS
Le Salon noir, France Culture, le mercredi de 14h30 à 15h Par Vincent Charpentier Émission du 31 août 2011Des restes humains découverts en Crimée (Ukraine) viennent d’être datés de 32 000 ans par une équipe de chercheurs européens. Parures en ivoire de mammouth, coquillages perforés, outils, antilopes saïga, renards et lièvres sont présents dans cet abri sous roche de Buran-Kaya, mais surtout, morceaux de crâne, dents, vertèbre, phalanges humaines, appartenant à 5 individus (un enfant, deux adolescents et deux adultes). Ceux-ci auraient été victimes d’un cannibalisme rituel, du moins envisagent aujourd’hui les chercheurs. Quoiqu’il en soit, ses découvertes sont les plus anciens témoignages directs de la présence de notre espèce, l’Homme moderne -Homo sapiens- au sud-est de l'Europe. Ils attestent l'hypothèse d'une colonisation du continent, par les premiers Hommes modernes.
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Les racines de l'homme sont-elles vraiment africaines ?
Sciences et Avenir – Numéro de décembre 2010 (p 27)
Des scientifiques chinois et américains viennent de dater les restes de l’homme de Zhirendong dans le sud de la Chine : ils auraient au moins 100 000 ans. Cette datation repousse la date de la présence des hommes modernes en Chine de près de 60 000 ans.
Elle bouscule aussi le scénario de “l’Out of Africa“, selon lequel nos ancêtres Homo sapiens sapiens seraient sortis d’Afrique il y a environ 70 000 à 90 000 ans pour conquérir peu à peu le monde. L’homo sapiens archaïque de Zhirendong étant antérieur, il ne pourrait pas en être issu. De quoi remettre en question l’origine exclusivement africaine de l’homme moderne.
15:44 Publié dans Politique, Science | Tags : races et ethnies, hans cany, identité & racines | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | | |