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07/12/2015

L'ABSTENTIONNISME, PREMIER PARTI DE FRANCE

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Voici la réalité de l'opinion publique et des comportements électoraux en Hexagonie. Notez la proportion des abstentionnistes et des non-inscrits. De quoi inspirer un peu d'humilité aux politicards qui prétendent nous gouverner, et de quoi relativiser très fortement la fausse "démocratie" dite "représentative", parlementaire et indirecte... Cette prétendue "démocratie" n'en est absolument pas une. Elle constitue même tout le contraire de la Démocratie réelle, c'est-à-dire directe et participative. L'idée progresse de plus en plus, et de moins en moins nombreux sont les citoyens et les citoyennes qui se laissent abuser par cette imposture qu'il convient de nommer comme ce qu'elle est : une oligarchie.

Hans CANY

 

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05/12/2015

La race est la nation, et la nation est la race [Par Troy Southgate]

Un point de vue de Troy Southgate, du National-Anarchist Movement (N-AM)
Traduit de l'anglais par Hans Cany

"L'ORGANIQUE DOIT TOUJOURS PRIMER
SUR LE CONTRACTUEL"


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Ceux d'entre nous qui accordent de la valeur à notre identité raciale et culturelle se préoccupent à juste titre du fait qu'un grand nombre de migrants et de réfugiés économiques sont actuellement en train de submerger l'Europe, et il semble exact de dire que notre continent ne sera plus jamais le même.



Il y a différentes façons de réagir à ce problème :

I/ S'opposer physiquement à la présence de ces arrivants, en se préparant à des années de retranchement et de conflit racial.

II/ Faire confiance aux partis et aux organisations qui s'opposent à l'immigration.

ou

III/ Se joindre aux libéraux en renonçant activement  à notre héritage distinctif et, donc, en acceptant de faire face à la mort lente du génocide ethnique induit par le métissage à long  terme.



Il semble parfaitement clair, à mon sens, qu'aucune de ces propositions ne nous mènera à une solution pacifique et acceptable. Par ailleurs, l'attitude de la Nouvelle Droite face au présent dilemne est tout aussi limitée qu'elle manque de perspicacité. En effet, alors que Guillaume Faye  et autre Alain de Benoist on proposé de chercher à préserver la civilisation moderne en lui appliquant des méthodes de réformes, de modifications temporaires ou d'interrègnes gouvernementaux, il apparait essentiel pour les gens de Droite de comprendre que de tels objectifs s'apparentent à un refus obstiné d'accepter l'effondrement inévitable de la civilisation, comme de regarder la réalité en face.


Par conséquent, bien que possédant les capacités tant d'identifier que de quantifier les signes du déclin, les tactiques de ces personnes s'avèrent complètement inadéquates, et la Droite elle-même -même celle  qui se réclame de la "révolution conservatrice"- n'est qu'un dernier carré assiégé et désaffecté, qui en est maintenant réduit à se cramponner du bout des doigts aux derniers vestiges de l'infrastructure civilisationnelle. Soyons clair à ce sujet.
Ce n'est pas une question de combattre ou de partir, d'exclusion ou de conservation, de pessimisme ou d'optimisme, mais d'honnêteté et de réalisme.


Ayant pris les noms des diverses tribus indo-européennes qui s'y étaient établies, les nations d'Europe ont atteint un tel point de dégénérescence qu'aujourd'hui, nous faisons juste partie d'une vaste zone commerciale. Si vous voulez, une vache à lait boursouflée au service des banques et des entreprises, qui à présent emplissent nos pays des nouvelles hordes d'un homo economicus déplacé et sans racines. Résultant de cela, il est devenu totalement dépassé et vide de sens de dépeindre l'Europe comme un continent qui -pour reprendre les mots de Jean Thiriart- s'étendrait de Galway à Vladivostok.



L'Europe était originellement constituée d'Européens, comme la France était composée de peuples de souche nordique, alpine et méditerranéenne, ou comme les Iles Britanniques abritaient des Celtes, des Anglo-Saxons et des Vikings. Mais cela n'est plus le cas. Ces peuples demeurent, bien sûr, pas moins qu'à travers le sang qui coule dans nos veines, mais plusieurs décennies de mélange racial -et beaucoup plus à venir- signifient que l'Europe n'est plus uniquement européenne. Les globalistes font de leur mieux pour redéfinir en quoi consiste somme toute le fait d'être "européen", s'affairent à remplacer l'ethnicité par la notion plus vague de citoyenneté, et nous devons également tenir compte d'un monde qui change rapidement.


Il est clair que quelqu'un qui a des origines africaines ou asiatiques ne peut être judicieusement  défini comme "Suédois", "Italien", "Espagnol" ou "Grec". Indéniablement, le fait qu'un individu soit né dans tel ou tel pays ne le rend pas identique aux habitants autochtones, qui sont quant à eux là depuis de nombreux siècles, et qui, les premiers, ont donné leur nom au territoire.


L'organique doit toujours primer sur le contractuel. L'Europe, par conséquent, ne doit plus être conçue comme un espace territorial. Le temps est venu de faire face à la  réalité, et d'accepter le fait que nous devons créer des centaines de "mini-Europes", centrées sur nos propres identités et valeurs. Où ces nouvelles enclaves se feront-elles ? Seul le temps nous le dira. Mais à moins que nous ne créions de nouvelles patries séparatistes -même des villages- , nos enfants, nos petits-enfants et nos arrière-petits-enfants feront partie d'un chaos cosmopolite en expansion constante qui nous entraînera tous dans sa désastreuse orbite, et finira par nous éradiquer en tant que peuple.



Sans aucun doute, nous faisons face à une grande adversité, mais c'est maintenant qu'il faut être positifs. Même s'il est exact de dire que tout peuple a besoin d'une terre qui soit sienne, l'Europe prévaudra partout où il y aura des Européens. Il est temps de se regrouper. Nous nous sommes déjà adaptés dans le passé, et nous le referons. La race est la nation, et la nation est la race.

 

Troy Southgate
Novembre 2015 E.V.

      

04/12/2015

ELECTIONS : Voter pour le "moindre mal", c'est perpétuer la servitude volontaire

hans cany,national-anarchisme,démocratie directe

Le bétail électoral des "bons citoyens", le populo-girouette, pousse les hauts cris face aux diverses exactions du pouvoir en place, et, disons-le d'emblée, il a parfaitement raison de le faire. Serait-ce donc là le signe d'une certaine prise de conscience du caractère fondamentalement abject et criminel du Système établi, quels que soient les hiérarques placés à sa tête ?... Hélas, que nenni ! L'esprit primaire de l'électeur moyen ne remet nullement en question la bêtise crasse dont il a su faire preuve pour la énième fois en se déplaçant aux urnes, lors des précédentes escroqueries électorales. Et tout ceci se reproduira. Encore une fois, l'électeur -animal grégaire et conformiste s'il en est- saisira la prochaine occasion de se choisir de nouveaux maîtres, feignant de croire dur comme fer à l'avènement d'une "autre politique", tout comme le religieux s'en remet à la venue d' un "messie" providentiel ou à l'intervention divine... La RELIGION des urnes bat son plein, et de tous bords, les représentants de ce culte infâme peuvent se frotter les mains.

A coup sûr, si la droite sortait victorieuse de la prochaine échéance, nous serions témoins, dans un avenir plus ou moins proche, d'un certain "réveil" des "mouvements sociaux", voire peut-être même d'un énième et naïf "mouvement étudiant". Le tout serait bien entendu orchestré par des forces "de gauche" (sic) et d'extrême-gauche qui n'auraient comme véritables objectifs que leurs propres intérêts de contrôle et de pouvoir, en profitant de l'affligeante crédulité des masses. Et l'ensemble de cette grotesque mascarade s'éteindra bien entendu comme feu de paille dès le prochain changement hiérarchique, sans jamais s'attaquer aux fondements du Système... Quelle sinistre farce ! Grâce à la bétise, au conformisme, et au réformisme corporatiste de cet amas de larves égoïstes, les exploiteurs et les tyrans de toutes tendances peuvent dormir tranquilles, forts de l'image "respectable" de "démocrates" élus au suffrage universel qui leur a été ainsi offerte sur un plateau !...

Ceci dit, on sent poindre un vent de contestation. Enfin !
Elles sont de plus en plus nombreuses -et c'est tant mieux-, les voix qui s'élèvent ça et là contre le système établi et contre les élections sur lesquelles il prétend s'appuyer. Mais le gros souci, c'est que même parmi les gens qui dénoncent la pseudo "démocratie" parlementaire indirecte - dite "représentative" - comme la falsification qu'elle est, beaucoup continuent malgré tout de participer au cirque électoral, par réaction et/ou conditionnement. Ils choisissent par dépit de voter pour le "moins pire", pour le "moindre mal" faute de mieux. Or, c'est un non-sens total, puisque c'est précisément leurs votes qui perpétuent indéfiniment l'imposture...

Voter pour un quelconque "représentant" de quelque bord que ce soit, c'est abdiquer, renoncer à la souveraineté populaire en distribuant des chèques en blanc à des "élus" potentiels. Contrairement à ce que cherche à faire croire la propagande électorale, l'abstention sert à quelque chose : c'est le plus puissant moyen de contestation, et l'abstention est comptabilisée, contrairement aux votes blancs et nuls. Plus le pourcentage d'abstention est important, moins l'élection d'un quelconque parti ou quidam est légitime, c'est mathématique. Et moins il y a de participants qui cautionnent l'imposture, plus cette dernière est remise en question, et plus il y a moyen de faire entendre des propositions alternatives, pour une VRAIE démocratie, directe et participative.


Leur prétendue "alternance" n'est qu'un leurre, et le plus pernicieux des pièges. Elle donne l'illusion du contrôle populaire et du libre choix, alors que dans les faits il n'en est rien. Les fondements du Système resteront inchangés, quels que soient les imposteurs de drauche ou de goite qui seront "élus". Au nom d'une dictature de la majorité des voix exprimées sur la minorité, qui plus est. Toutes relatives que puissent être la différence entre les deux, ou même la participation au processus électoral. Réveillez-vous. Vous croyez naïvement vivre en "démocratie", alors qu'il ne s'agit au mieux que de démocrature, la plus subtile des dictatures qui se dissimule derrière un faux nez "démocratique" !

L'imposture de ce système est exposée de façon concise dans l'extrait de texte suivant :

"La lutte politique qui aboutit à la victoire d'un candidat, avec, par exemple 51% de l'ensemble des voix des électeurs, conduit à un système dictatorial, mais sous un déguisement démocratique. En effet, 49% des électeurs sont gouvernés par un système qu'ils n'ont pas choisi, et qui, au contraire, leur a été imposé. Et cela c'est la dictature. Cette lutte politique peut aussi aboutir à la victoire d'un appareil ne représentant que la minorité, notamment lorsque les voix des électeurs se répartissent sur un ensemble de candidats dont l'un obtient plus de voix que chacun des autres considéré à part. Mais si l'on additionnait les voix obtenues par les « battus », cela donnerait une large majorité. Malgré cela, c'est celui qui a le moins de voix qui est proclamé vainqueur, et son succès est considéré comme égal et démocratique ! Mais en réalité il s'instaure une dictature sous des apparences démocratiques. Voilà la vérité sur les régimes politiques qui dominent le monde actuel. Leur falsification de la vraie démocratie apparaît clairement: ce sont des régimes dictatoriaux."

 

De temps à autres, certaines et certains, parmi nous, succombent aux sirènes de l'électoralisme en essayant de nous convaincre du bien fondé de voter pour tel parti ou tel candidat -généralement pour contrer tel autre-, voire même de l'opportunité pour notre mouvance de nous constituer en parti politique et de présenter notre candidature lors de consultations électorales.
Je ne saurais trop les renvoyer  à cette citation, entre autres :

"Le parti est la dictature contemporaine. Il est "l'appareil de gouvernement" de la dictature d'une fraction sur l'ensemble. Il est de nos jours le dernier en date des appareils dictatoriaux. Et comme le parti n'est pas un individu, il reflète une démocratie apparente en forgeant des assemblées ou des commissions, sans compter la propagande à laquelle se livrent ses membres. Le parti n'est nullement un appareil démocratique, parce qu'il se compose des gens qui ont les mêmes intérêts... ou les mêmes vues... ou la même culture... ou font partie d'une même région... ou ont la même idéologie... et qui se regroupent en un parti pour assurer leurs intérêts ou imposer leurs vues, ou étendre le pouvoir de leur doctrine à la société toute entière. L'objectif d'un parti est de parvenir au pouvoir au nom de l'exécution de son propre programme. Il n'est pas démocratiquement admissible qu'un parti gouverne le peuple tout entier car celui-ci est constitué d'intérêts, d'opinions, de tempéraments, d'idéologies ou d'origines différents."

 

C'est pourquoi il n'y a pas - et il ne doit pas y avoir - de parti politique jouant le jeu "démocratique" du Système tout  en prétendant en combattre les fondements. Ce que certain(e)s, malheureusement, ont encore du mal à comprendre... De telles élections s'inscrivent dans le cadre de la fausse "démocratie" indirecte et parlementaire, avec dictature d'une prétendue "majorité" à la clé. Or, notre propos, c'est précisément tout l'inverse : la vraie démocratie, c'est à dire DIRECTE et participative, sans prétendus "représentants", sans substituts au pouvoir du peuple, et donc sans partis. Car qui dit parti dit partie, et confiscation de la souveraineté populaire au profit exclusif d'une caste, quelle que soit cette dernière. La démocratie directe constitue un principe fondamental du national-anarchisme.

 

Au sujet de cette démocratie directe que nous prônons, la citation suivante résume bien de quelle façon le peuple a été détourné de son idée même par l'oligarchie régnante :

"La démocratie directe, quand elle est mise en pratique, est indiscutablement et incontestablement la méthode idéale de gouvernement. Comme une nation, quelle que soit sa population, ne peut être rassemblée pour discuter, étudier et décider de sa politique, les sociétés sont détournées de la démocratie directe, qui est demeurée une idée utopique éloignée de la réalité. Elle a été remplacée par de nombreuses théories de gouvernement, telles que les assemblées parlementaires, les coalitions de partis, les référendums. Toutes ont conduit à isoler le peuple de l'activité politique, à usurper sa souveraineté, et à confisquer son pouvoir au profit d' « appareils de gouvernement » successifs et en conflit, qu'ils soient individu, classe, secte, tribu, Parlement ou parti."

A vous, à nous tous de redonner son sens initial et véritable au mot Démocratie, et de ne plus cautionner sa grossière contrefaçon en nous rendant aux urnes pour nommer de quelconques oligarques.

En guise de conclusion, vous vous demanderez sans doute de qui sont les citations qui émaillent cet article, et d'où elles sont extraites. Il était important de vous en laisser apprécier la pertinence sans préjugés. Mais le moment est venu de dévoiler le nom de leur auteur : Mouammar Kadhafi. Tous ces passages sont extraits  du Livre Vert, et plus précisément de sa première partie, consacré à la question démocratique. Pour en savoir plus, vous pourrez accéder à l'intégralité de cette première partie en cliquant ici : Le Livre vert, Première partie.

Hans CANY

 

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03/12/2015

ELECTIONS : Notre consigne de vote ? Le BOYCOTT !

 

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"Si tu ne votes pas, ne te plains pas", nous disent parfois certains, convaincus de la justesse et de la logique imparables de leur bon mot. Nous serions pourtant tentés de leur répliquer, de façon tout aussi catégorique : "Si tu votes pour des escrocs, des imposteurs et des charlatans, alors ne viens pas te plaindre ensuite d'être entubé à qui mieux-mieux" !...

Voter pour un quelconque "représentant" de quelque bord que ce soit, c'est abdiquer, renoncer à la souveraineté populaire en distribuant des chèques en blanc à des "élus" potentiels. Contrairement à ce que cherche à faire croire la propagande électorale, l'abstention sert à quelque chose : c'est le plus puissant moyen de contestation, et l'abstention est comptabilisée, contrairement aux votes blancs et nuls.

Plus le pourcentage d'abstention est important, moins l'élection d'un quelconque parti ou quidam est légitime, c'est mathématique. Et moins il y a de participants qui cautionnent l'imposture, plus cette dernière est remise en question, et plus il y a moyen de faire entendre des propositions alternatives, pour une VRAIE démocratie, directe et participative. Le système actuel, qui usurpe de façon éhontée l'appellation de "démocratie", est en réalité tout le contraire de la Démocratie véritable. Il s'agit tout simplement d'une oligarchie.

 Ce que le Système craint le plus, ce n'est pas le vote pour untel ou untel -même pour des "extrêmes" ou de pseudo "rebelles" institutionnalisés-, mais c'est bel et bien l'ABSTENTION... Car l'abstention consciente et "militante", le boycott total, signifie à terme la mort de ce système de dupes, et l'avènement potentiel d'autre chose. Tant qu'il restera assez de naïfs pour jouer le jeu, ne serait-ce que celui du "moindre mal", on ne sera pas près de voir avancer le schmilblick.

Ne vous laissez plus berner, refusez de vous faire confisquer votre souveraineté, refusez de plébisciter untel ou untel sous prétexte de "moindre mal", alors que le ou la candidat(e) en question n'incarne nullement vos aspirations profondes et réelles, et qu'une fois élu(e), vous ne pourrez plus exercer le moindre contrôle sur ses agissements ni sur ceux de ses acolytes.

Ceux qui vous disent qu'en ne votant pas, vous laisseriez les autres choisir et décider à votre place vous mentent, ou au mieux se trompent. Ils ne font qu'entretenir l'illusion du libre choix et donc de la légitimité de ce système fallacieux. Ne les écoutez pas, cessez de vous faire avoir. Comme le dit fort judicieusement l'adage, si les élections pouvaient réellement changer les choses, elles seraient purement et simplement interdites, et ce depuis longtemps. Ne l'oubliez jamais.

La seule solution qui soit réellement efficiente , c'est l'objection de conscience permanente et généralisée, et donc le boycott, l'abstention consciente et révolutionnaire. Au contraire, contestez. Refusez de jouer le jeu. Informez vous, instruisez vous, découvrez des alternatives radicales, et faites-les connaître autour de vous. Le vrai changement, ce ne sont pas eux, ni leurs soi-disants rivaux dans la course à la gamelle. Le vrai changement, c'est vous, c'est nous. Car nous sommes le Peuple.

 

Concernant la prochaine mascarade électorale et la fausse alternance qu'elle prétend vous proposer, nous autres, les nationaux-anarchistes authentiques, ne pouvons mieux faire que de vous recommander de toujours garder à l'esprit cette brillante formule de Michel Audiard : Cocu pour cocu, je préfère ne pas être consentant. Alors, je ne vote pas.

D'ailleurs, un homme ou une femme libre ne vote pas. Désigner ses maîtres, c'est le propre des esclaves.

Hans CANY

 

 

TOUTE "REPRESENTATION" POLITIQUE EST UNE IMPOSTURE !

PAS DE SUBSTITUT AU POUVOIR DU PEUPLE !

PAS DE DEMOCRATIE REELLE EN DEHORS DE LA DEMOCRATIE DIRECTE ET PARTICIPATIVE !

PAS DE DEMOCRATIE SANS CONGRES POPULAIRES ET COMITES POPULAIRES !

EXIGEONS DES CONGRES POPULAIRES PARTOUT !

 

hans cany,national-anarchisme,démocratie directe

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